J’ai entrepris le mois de janvier avec enthousiasme, devant la perspective de consacrer tout mon temps à l’écriture, mais le travail est devenu ardu dès la première semaine. Dans le troisième tome de la série Montréalie, j’ai développé une intrigue qui devait amener mon personnage principal, Maxime Beaubien, maintenant maire de Montréal, à une confrontation avec le gouvernement provincial, mais j’ai réalisé, avec un peu de recul durant les fêtes, que l’intrigue n’était pas crédible. J’ai donc dû réviser une centaine de pages durant le mois tout en imaginant une nouvelle intrigue. J’avance finalement et j’ai maintenant plus de 53 000 mots d’écrits sur un total prévu de 100 000 mots.
Mon roman en langue anglaise avance lui aussi et je découvre que la rédaction à la troisième personne me permet une flexibilité dans la structure narrative que je n’avais pas avec mes textes de la série Montréalie que j’ai écrits à la première personne. Pour ce roman, qui devrait aussi être disponible en français, mon intrigue principale et les secondaires sont établis et la rédaction va bon train même si quelques fois j’ai l’impression d’un peu trop m’éparpiller. J’appréhende le moment où mon manuscrit sera lu et devra être modifié à la suite de suggestions de mon éditeur ou de mes collaborateurs. Apparemment, ça fait partie du métier, mais je suis quelquefois difficile à convaincre. À la fin du mois de janvier, ce roman, pour lequel je n’ai pas encore de titre, a atteint les 20 000 mots.
L’écriture de ces deux romans demeure ma priorité, mais l’idée d’écrire un ouvrage sur le monde des affaires me trotte dans la tête depuis des années. Je crois avoir enfin découvert un sujet intéressant et mes premières recherches me confirment qu’il y a abondance de matériel susceptible d’intéresser les lecteurs et même de soulever la controverse. Je vous tiens au courant.
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